n°077

scandale !

DANS LA MOUISE !

Yominique Grauss-Pahn s'est fourré dans un pétrin pas croyab', avec cette affaire d'agression.

On n'en revient toujours pas. La nouvelle est tombée samedi : YGP a commis l'irréparable sur une femme de chambre !

Il est environ midi lorsque l'affaire éclate : la soubrette a clairement dénoncé aux services de police une "tentative d'étouffement volontaire par strangulation pénienne".

YGP a immédiatement été interpelé par les autorités locales, à Nouillorc, en Amerloquie, et placé en garde-à-view. Il s'est expliqué : "Cette connasse avait oublié d'épousseter mes magnifiques modèles réduits de voitures. Elle sait bien qu'ils prennent la poussière, et que ça les bousille".

Les enquêteurs ont réagi à ces propos : "Oui, Mister Grauss-Pahn, que vous ayez essayé de l'étrangler, passe encore, nous pouvons le comprendre, elle méritait bien ça. Mais pourquoi avec votre pénis ?". Et YGP, sans se démonter, de rétorquer illico : "Ben quoi ? J'allais quand même pas me salir les mains !".

Le président-directeur-général-chef-responsable du Fonds Murgeatoire Internazional (FMI) semble compromettre définitivement ses chances de devenir Pestilent de la Républ-hic!- dans un an... A grauche, on crie au coup monté, voire au coup "fourré"...

LES RéACTIONS

Xuânolène JOVIAL, présidente socialcoliste de la région Charette-Boitou.

"Je sais, je suis la seule côté socialcoliste à ne pas défendre YGP. Mais il est indéfendable ! Je le connais depuis longtemps, et j'étais certaine que cela finirait par arriver. Les petites voitures lui sont montées à la tête, et il ne se contrôle plus ! Ca, c'est l'effet grauche-foie gras : on se croit dans l'élite, on s'éloigne de la populasse, et on se permet n'importe quoi. Pfff... Bon, allez, je trinque quand même à sa santé avec ma coupe de champ' !"

 Nicolas SALKOZRY, Pestilent de la Républ-hic!-.

"Ah ! J'me marre bien ! Il paraît que c'est lui qui doit me remplacer dans un an ? Ah ! J'rigole bien ! Ah mais non mais dis, non mais dis donc, ah ! Non mais... Ah ! Je me bidonne ! Ah, nan mais un peu, hein ? Nan mais... Ah ! Ah, ah ! J'me marre, mais alors beaucoup beaucoup ! C'est quand même pas avec des types comme ça qu'on va relever le débat !"

 Tominique De MILLEPINTES, président du parti "Républ-hic!- Liquide".

"Wah, la chance ! Moi qui ai toujours rêvé d'agresser quelqu'un de cette manière... Mais j'ai jamais osé, snif !"